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Opinions

  • La bouffe d’hôpital n’est plus ce qu’elle était et c’est tant mieux!

    «Si j’en crois ce que j’ai dégusté mercredi dernier au CHUM, nos hôpitaux montréalais vivent une véritable révolution en cuisine…»
  • Lise Denis : « La deuxième ligne d’aujourd’hui sera la première ligne de demain »

    La directrice générale de l'AQESSS, Lise Denis, prendra sa retraite à la fin du mois. Elle fait le point avec Profession Santé sur les grands bouleversements qu’a traversé le réseau dans les dernières années et sur les défis à venir pour ses gestionnaires.
  • Améliorer la pertinence en couvrant publiquement toute l'imagerie

    «Assurer une couverture publique de toute l'imagerie rétablirait le lien nécessaire entre le besoin clinique réel et l'accès aux tests: ceux qui ont des besoins plus significatifs retrouveraient leur "place". Chaque examen aurait davantage d'impact clinique. Dans l'ensemble, les médecins poseraient des diagnostics plus importants plus rapidement et leurs patients s'en porteraient mieux. Ce qui serait un bon coup de pouce donné au système.»
  • «Ramancheur»?

    «Concernant l’ostéopathie, il faut savoir que, au Québec, plusieurs médecins ont choisi de se former et de pratiquer l'ostéopathie avec circonspection.»
  • Éditorial - Joyeux...

    «En rétrospective, 2012 aura été une très belle année pour les pharmaciens, puisque de nouveaux rôles leur ont été promis et que les deux grandes associations professionnelles ont eu leur part de succès.»
  • Le D-Ribose et le Tri-Salt

    Le ribose semble fournir un soulagement et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de fibromyalgie et de fatigue chronique. Pour ce qui est du Tri-Salt, le site de la compagnie mentionne les bienfaits de l’alcalinité qui diminue ou prévient nombre de maladies et conditions.
  • Une surmédicalisation... médiatisée!

    «Tout à coup, M. Vaillancourt se trouve un médecin qui lui signe un certificat d'invalidité. Il peut donc rentrer tranquillement chez lui vaquer à ses occupations, tout en ayant encore une fois les avantages de son salaire. Dans l’immédiat, il n'a donc aucunement à faire face aux conséquences de ses actes, et cela sur la seule fois d’un billet signé par un médecin.»
  • Se souvenir de Tommy Douglas

    «Le discours de Douglas était franc, simple et pouvait se résumer en quelques mots: il faut soigner collectivement nos malades. Aujourd'hui, ces luttes remarquables de l'époque sont quelque peu oubliées. Tout nous semble acquis, nous travaillons maintenant à la marge, amélioration ici, problème là. Mais à l'époque, il s'agissait bien d'une révolution, d'un changement fondamental de paradigme, de la remise en cause d'une vaste réalité sociale.»
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