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L’action collective entreprise en 2016 contre 22 sociétés ou pharmacies, et qui implique 49 établissements reliés aux chaînes Jean Coutu, Uniprix et Pharmaprix, vient de franchir une autre étape.

Les Québécois ont apprécié la gestion de la première vague de COVID-19 par le gouvernement de François Legault et les professionnels de la santé, mais sont plus mitigés à l’endroit du gouvernement fédéral.

La pandémie a levé une fois de plus le voile sur les problèmes de pénurie de médicaments qui affectent régulièrement le système de santé du Québec depuis une bonne dizaine d’années.

Au sommaire: 6 solutions pour assurer notre autosuffisance en santé | La télédermatologie, c’est pour 2021 | Les bactéries multirésistantes, sources de la prochaine pandémie? | Adapter sa pharmacie aux nouvelles activités de la loi 31 | Medactuel: Les sarcomes osseux

Constatant le nombre important de plaintes du public concernant les médecins experts, le Collège des médecins du Québec (CMQ) a décidé de mieux encadrer et de rehausser la qualité de cette pratique qui suscite de nombreux enjeux déontologiques.

Alors que les pharmacien.nes faisaient déjà face à une surcharge de travail, comment peuvent-ils intégrer au mieux les nouvelles activités de la Loi 31 dans leur pratique quotidienne? Trois pharmaciennes partagent leurs stratégies.

Le 10 décembre 2020, le Protecteur du citoyen rendait public un rapport d’étape intitulé La COVID-19 dans les CHSLD durant la première vague de la pandémie – Apprendre de la crise et passer à l’action pour respecter les droits et la dignité des personnes hébergées.

Après avoir travaillé dix ans à ouvrir les frontières de la collaboration interprofessionnelle, le directeur général adjoint du Collège des médecins du Québec, le Dr Jean-Bernard Trudeau, prend sa retraite le 30 juin prochain.