Opinions

Jusqu’à présent, rien d’innovant dans ces promesses électorales, qui sont en partie souhaitables. Tant mieux si elles sont tenues. Mais il y a des hics (...) Je n’ai pas vu encore d'engagements clairs visant à optimiser le travail des professionnels, à réduire la non-qualité, la non-utilité, la non-pertinence.

La Dre Marli du Toit vous fait vivre une journée typique dans sa spécialité, et partage son parcours depuis l'Afrique du Sud, qui l'a mené jusqu'à sa pratique en cabinet à Calgary, en Ontario.

L’universalité est autant menacée que l’accessibilité… Il se fait au Québec une médecine de qualité, possiblement de surqualité même, mais seulement pour la classe des citoyens «inscrits» à un médecin de famille.

«Réduire les réadmissions non nécessaires est devenu un objectif que plusieurs pays tentent de réaliser, car cela a le potentiel d’améliorer la qualité et de diminuer les coûts», estime Benoît Gareau.

«Alors même que Sa Sainteté le pape se promenait à travers le Canada pour présenter ses excuses, j'écoutais Elisapie. Que valent ces excuses? Certes, elles sont nécessaires. Importantes, même. Mais sont-elles suffisantes?», se demande le Dr Ladouceur.

La Dre Dechêne nous fait part de ses déceptions par rapport à la Santé publique québécoise, en particulier pour son inaction en lien avec l'alimentation des Québécois et la non-reconnaissance de la transmission du SRAS-CoV-2 par aérosols.

Plusieurs études ont montré que prendre 80% des doses préserve les bénéfices de la thérapie. Cela veut dire qu’un «bon patient» tiendra jusqu’à 36 jours avec un service d’un mois. Au-delà de ce seuil, nous devons intervenir.