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Quels effets les réformes néolibérales ont-elles eu sur la résilience des systèmes de santé, sur leur capacité à s’adapter aux chocs auxquels ils sont exposés? D'autant plus que des crises comme la pandémie la mettent encore à rude épreuve.

Le «cri du coeur» lancé par le Conseil pour la protection des malades semble avoir trouvé l'oreille du ministre de la Santé, Christian Dubé, qui a promis le dépôt d'amendements à sa réforme afin de protéger les comités d'usagers.

Ce qui se dégage du rapport est une volonté de solidifier le filet social afin de mieux soutenir les personnes en détresse. La coroner souhaite resserrer les mailles par une action mieux coordonnée, l'ajout de ressources et un renforcement de leurs compétences.

Évoquant «une crise majeure» dans les centres d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), Québec lance un appel à la mobilisation des médecins à la retraite dans la grande région de Montréal.

Le nouveau recteur de l’UQAM, Stéphane Pallage, souhaite ouvrir une nouvelle faculté des sciences de la santé avec un volet de formation en médecine, un projet d’envergure qu’il estime possible de réaliser dans cinq ans.

L'accès à l'avortement dans toutes les régions du Québec doit être la priorité de la ministre responsable de la Condition féminine, Martine Biron, davantage que l'élaboration d'une loi qui protégerait ce droit, plaide la députée de Mercier, Ruba Ghazal.

Une lettre de Jean-Yves Duclos aurait déclenché la discorde et la division qui ont conduit à des démissions. Un tel climat a fait en sorte qu'une pause d'une durée indéterminée a été prise sur les principales réformes des prix des médicaments et a aussi mené à des démissions.

La nouvelle loi permettra les demandes anticipées à l'AMM pour les personnes atteintes d'une maladie grave et incurable. Toutefois, il pourrait s'écouler jusqu'à deux ans pour que de telles demandes puissent être faites.