Neurologie

La découverte que l’infection par le VIH ou les médicaments antirétroviraux confère un effet protecteur contre la SEP améliore notre compréhension des causes de la maladie et de la manière dont elle endommage le corps.

Bien qu’à tout âge, il y ait des avantages à rester actif sur les plans physique et social, certaines recherches montrent que les bénéfices seraient plus importants après 40 ans. Au pire, on sera en meilleure santé et plus indépendant, avec ou sans démence.

Plus d’un siècle après cette flambée épidémique d’ampleur, on ignore toujours les causes de la maladie. Mais des hypothèses existent, impliquant notamment le système immunitaire.

Chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à un stade précoce, un anticorps monoclonal a permis de réduire la charge de la plaque amyloïde par rapport au placébo.

Les qualités thérapeutiques de la musique sont étroitement liées à la libération de substances neurochimiques. Certaines sont associées au bonheur (ocytocine, sérotonine, endorphines), mais la dopamine est au cœur des propriétés stimulantes de la musique.

Une étude a mis en évidence un autre mécanisme pouvant expliquer l’origine de la maladie d’Alzheimer, permettant d’envisager de nouvelles façons de la diagnostiquer et de nouvelles pistes thérapeutiques. Ses applications pourraient aussi concerner d’autres maladies du vieillissement.

D'après les résultats d'une étude publiée dans Neurology, plus une femme est exposée longtemps à ses hormones naturelles, moins les petits vaisseaux sanguins de son cerveau risquent de présenter des signes de maladie.

Une perte de seulement 1% du sommeil lent profond par année chez les gens de 60 ans et plus augmente de 27% leur risque de démence, prévient une nouvelle étude à laquelle a participé une chercheuse montréalaise.