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Éditoriaux

  • La première ligne est-elle à ce point démotivante?

    «Les résidents en médecine familiale et les jeunes médecins de famille ont très mal réagi aux changements annoncés en décembre par le ministre de la Santé Gaétan Barrette et qui viennent modifier de façon importante l’entente particulière sur les PREM. Le ministre veut dorénavant ''encourager'' les médecins de famille à choisir une pratique davantage orientée vers la première ligne que l’hôpital.»
  • Annus horribilis

    Est-ce qu’il serait exagéré de qualifier d’éprouvante pour les médecins et les pharmaciens l’année qui vient de se terminer ? Absolument pas, répondraient sûrement pour leur part le Dr Louis Godin et le pharmacien Jean Thiffault, qui, chacun à sa façon, ont traversé une année dantesque.
  • Aide médicale à mourir: Êtes-vous prêts?

    «Au-delà d’une prise de position sur le libre-arbitre de chacun sur son corps et sur sa mort, il y a aussi le poids, immense, pour le professionnel de la santé, de commettre un geste extrêmement lourd de sens, et plusieurs ne peuvent tout simplement pas s’imaginer y contribuer, même si le patient l’a demandé, même si son choix se comprend et que toutes les règles éthiques ont été scrupuleusement respectées.»
  • L’immuno- coûteuse-thérapie!

    Cet éditorial est publié dans l'édition de novembre 2015 de Québec Pharmacie, disponible en version tablette et sur eCortex.
  • Précieuse ordonnance

    «Depuis le 22 octobre dernier, une nouvelle version du règlement sur la rédaction des ordonnances médicales est en vigueur. Diffusé sans tambour ni trompette, ce règlement touche pourtant l’un des emblèmes de la relation professionnelle entre les médecins et les pharmaciens.»
  • Frais accessoires: à qui la facture ?

    L’Assemblée nationale est le témoin d’une bataille haute en couleur portant sur les frais accessoires depuis la rentrée parlementaire.
  • Ordonnances pour aînés

    «C’est un lieu commun que de dire que les médicaments sur ordonnance sont largement utilisés par les personnes âgées, que ces dernières vivent chez elles, dans la communauté ou dans les CHSLD. Même s’ils jouent un rôle important dans le traitement et la gestion de la maladie, leur sur­consommation n’est pas sans risque chez ce groupe d’âge, au point ou cela est devenu un enjeu de santé publique.»
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