Skip to main content

STEEVE GAUTHIER

Author Profile

Diplômé en soins infirmiers du Cégep de Jonquière (1995), poursuivant présentement une maîtrise en administration publique à l’ÉNAP, Steeve Gauthier est infirmier-chef d’une unité de pneumologie à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR), à Montréal. Intéressé par le leadership infirmier, il est président du Conseil des infirmières et infirmiers (CII) de son établissement depuis 2010. Il siège à titre d’administrateur au conseil d\'administration de l’HMR et de vice-président au Conseil d’administration de l’Association des CII du Québec (ACIIQ). Il est l’un des membres fondateurs du Regroupement pour l’avenir de la profession infirmière au Québec (RAPIQ).

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 13/03/2012

    Êtes-vous temps complet ou temps partiel?

    «Je questionne la décision de la FIQ de vouloir imposer aux infirmières et infirmières auxiliaires le temps complet pour toutes… Lors de la dernière négociation, cette demande a créé beaucoup de tensions et a davantage contribué, il me semble, à démobiliser les membres que le contraire…»
  • 06/03/2012

    TSO: la force de 70 000 infirmières

    «Les infirmières qui débutent quittent les établissements de façon assez importante dans les trois premières années de leur pratique, confrontées aux réalités qui sont les nôtres… et un nombre inquiétant d’anciennes quittent vers les agences, vers le privé, ou alors demeurent dans le réseau, mais démotivées. Il est plus que temps de renverser cette tendance lourde!»
  • 28/02/2012

    L’université à tout prix!

    « Je me demande ce que la hausse des frais de scolarité pourrait avoir comme conséquences sur le réseau de la santé. Est-ce que des impacts sont à prévoir sur le nombre d’inscriptions en sciences infirmières à l'université?»
  • 23/02/2012

    Entre l’arbre et l’écorce

    «C’est fascinant de voir comment, dans notre rôle de soignant, on est continuellement coincé entre l’arbre et l’écorce… Le patient au centre de mes préoccupations, c’est mon guide professionnel. Souvent cela suppose qu’il faille défendre les intérêts de celui-ci auprès des différents professionnels et parfois même auprès de sa propre famille. Bien que je me retrouve parfois dans des situations très particulières, jamais je ne voudrais que le patient soit ailleurs qu’au centre de mes préoccupations!»
  • 14/02/2012

    Cet indomptable voilier

    «Le système de santé public est justement cela… public. Cela ne peut pas être l’affaire d’une seule personne ou d’un petit groupe de personnes. C’est pourquoi il faut y mettre du nôtre. Parce que nous sommes dans le réseau comme travailleurs. Il faut mettre de la pression, car des erreurs importantes ont été faites dans le passé.»
  • 07/02/2012

    Capitalisme ou vocation?

    «Pas besoin de m'expliquer le rôle et l'importance du rôle du médecin, je le connais... Mais comme il faut séparer la tarte entre l'ensemble des intervenants du réseau et que nos salaires proviennent directement de nos poches via nos impôts, il faut faire les bons choix…»
  • 31/01/2012

    Hausse de la cotisation annuelle: la grogne règne!

    «Les réseaux sociaux abondent de commentaires d’indignation concernant la hausse de la cotisation annuelle de notre permis d’exercice. Une pétition contre cette hausse a même été mise en ligne! Pourtant...»
  • 24/01/2012

    TSO: on tourne en rond

    «Ma gang est en souffrance! Les heures supplémentaires obligatoires sont redevenues omniprésentes, le moral de l’équipe est au plus bas, les collègues sont démotivées. Je trouve ça tellement décourageant…»
  • 17/01/2012

    Les urgences débordent… encore!

    «J’entendais récemment le ministre de la Santé Yves Bolduc dire que la situation dans les urgences du Québec s’était beaucoup améliorée dans les dernières années, surtout en région… C’est comment chez vous ?»
  • 10/01/2012

    Au bilan: l’équilibre!

    «Je dois me concentrer sur l’équilibre. Je ne suis pas en épuisement, mais je ne veux pas m’y rendre. Je sens qu’il est temps que je prenne de bonnes décisions, sinon il sera trop tard. Suis-je le seul à me sentir débordé? J’en serais bien étonné…»