La sexualité des personnes âgées est majoritairement reconnue par les professionnels de santé. Mais, gênés par le sujet, ils l’abordent rarement spontanément.
Un sondage mené auprès de spécialistes en cancer génito-urinaire de l’ensemble du Canada a révélé que seulement la moitié d’entre eux délèguent complètement les soins de suivi au médecin traitant du patient.
D’après une enquête mondiale, un urologue sur sept déclare qu’au moins une des complications chirurgicales relevant de sa pratique pourrait être imputable à une distraction dans le bloc opératoire.