Oncologie

Une once de prévention vaut mieux qu’une livre de maladies. L’activité physique demeure encore la meilleure pilule qui soit pour la santé, a rappelé l’omnipraticienne Joanne Fontaine lors de la Journée de pharmacologie qui s’est tenue à l’Université Laval le 2 décembre dernier.

Pourquoi certains cancers deviennent-ils malins et d'autres non? Réponse: à cause de la molécule PML, selon une équipe de chercheurs dirigée par le Dr Gerardo Ferbeyre, du Département de biochimie de l'Université de Montréal.

La taille de l'index par rapport à celle de l'annulaire permettrait d’évaluer le risque de développer certains cancers, notamment le cancer de la prostate.

«Je ne dis pas qu’il faut supprimer le dépistage contre le cancer. Il peut y avoir des bénéfices, mais les gens doivent être informés qu’il y a également des risques. Leur décision doit être basée sur leurs valeurs et préférences associées à ces bénéfices et à ces risques potentiels», explique le Dr Michel Labrecque.

Le Québec dispose de moins de 650 lits en soins palliatifs, soit 42,5 lits par 500 000 habitants. Il faudrait élever ce ratio à 50 lits pour répondre à la demande.