Oncologie

La protonthérapie est plus précise que la radiothérapie, car elle permet de mieux concentrer le rayonnement sur la tumeur, réduisant ainsi les effets secondaires. Toutefois, l’accès à ce traitement clé contre le cancer est difficile pour la population canadienne.

Deux études préliminaires témoignent de progrès prometteurs dans le traitement de cette forme impitoyable de cancer du cerveau. Les chercheurs ont modifié des cellules immunitaires pour attaquer la maladie, et les premiers résultats sont très intrigants.

Chez les femmes postménopausées, le calcium et la vitamine D réduisent le risque de mortalité par cancer, mais augmentent le risque de décès par maladie cardiovasculaire.

Les directives nationales recommandent d'éviter le dépistage du cancer du sein avant l'âge de 50 ans. Toutefois, les femmes noires, hispaniques et asiatiques présentent une incidence maximale de cancer du sein dans la quarantaine.

L'accès gratuit au dépistage est désormais élargi aux femmes âgées de 70 à 74 ans afin d'améliorer les services de prévention et de lutte contre le cancer, un programme qui était jusqu'ici exclusivement offert aux Québécoises de 50 à 69 ans.

On pourrait possiblement accentuer l'efficacité du système immunitaire face aux virus, et même potentiellement face au cancer, en rehaussant la «mémoire» de certaines cellules, portent à croire des travaux réalisés à l'Institut de recherches cliniques de Montréal.

Selon une nouvelle étude canadienne, certaines femmes atteintes d'un cancer du col de l'utérus à un stade précoce pourraient être traitées en toute sécurité par une hystérectomie totale, ou simple, qui entraîne moins de complications.

La chimiothérapie est utilisée pour traiter tous les patients atteints de ce cancer. Or, plusieurs n'auraient pas besoin d'un traitement aussi invasif si les diagnostics sur les risques de récidive étaient plus raffinés. Une nouvelle technologie pourrait changer la donne.