La RAMQ annonce des changements à des mesures entrées en vigueur tout dernièrement, soit la mention « ne pas substituer » et la baisse du prix maximum payable pour les IPP.
Réagissant à une montée aux barricades de plusieurs groupes, les pharmaciens propriétaires et le ministre de la Santé se portent à la défense des allocations professionnelles qui sont permises en vertu du Règlement sur les avantages autorisés à un pharmacien.
Maintenant que l’entente a été entérinée par le Conseil du trésor, les deux parties se rencontreront, dès la semaine prochaine, afin de finaliser les détails.
Il faut compter en moyenne 462 jours entre l’approbation de commercialisation émise par Santé Canada à un fabricant et le remboursement par les régimes publics d’assurance médicaments, dont celui du Québec.
En raison de l’entrée en vigueur, le 20 juin, de leurs nouvelles activités professionnelles, la RAMQ a rendu publiques les modalités administratives concernant le traitement des demandes de paiement des ordonnances pour les personnes inscrites au RPAM.
L'APES cherche toujours à comprendre pourquoi le ministère de la Santé ne l’a pas invitée à faire partie de son Comité des partenaires, communément appelé sa «cellule de crise», qui l’aide à gérer les ruptures d’approvisionnement en médicaments.
Dans les prochaines semaines, les pharmaciens communautaires doivent s’attendre à répondre à davantage de questions des assurés du régime public d’assurance médicaments, puisque la contribution de ces derniers a augmenté significativement depuis le 1er juillet.
Régine Laurent admet qu’au fil des ans, les directions des soins infirmiers se sont fait peu à peu « tasser » des prises de décision financières. «Et ce fut une erreur de notre part de ne pas avoir combattu cela.»