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Parmi les recommandations formulées par le Collège des médecins devant l'Assemblée nationale, la nécessité de développer rapidement le dossier santé numérique ou encore de nouveaux leviers pour encadrer la pratique privée.

Faciliter l’accès au dépistage des cancers et offrir un accès équitable aux traitements sont deux des grands objectifs au cœur du nouveau plan d'action en cancérologie du gouvernement du Québec, qui a été dévoilé vendredi.

Le Conseil du patronat du Québec et la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante craignent que le projet de loi 68 favorise les abus de congés médicaux.

Selon la FMSQ, le projet de loi 68 n’aura pas d’impact significatif sur la pratique de ses membres. Et pour la FMOQ, les mesures prévues n’ajouteront pas 138 000 rendez-vous additionnels par an.

L’AMC estime qu’il devrait y avoir un meilleur suivi des dépenses en santé, à la suite des accords sur les soins de santé que le gouvernement fédéral a signés avec les provinces et les territoires.

Encore une fois, l'industrie des soins de santé et de l'assistance sociale présente l'un des taux de postes vacants les plus élevés au Québec. En 2023, le taux de postes vacants s'est élevé à 7,4%, soit 43 000 postes.

Les données sur le financement de la santé ces deux dernières décennies montrent que la croissance des transferts fédéraux a largement dépassé les augmentations des budgets provinciaux en santé.

«Notre système de soins, qui faisait notre fierté depuis plus d’un demi-siècle, ne va pas bien. Que s’est-il passé, y a-t-il encore quelque chose à faire? (...) J’aimerais partager certaines idées, elles me semblent susceptibles de relancer différemment le débat.»