Ma pratique

En raison de l’évolution récente de la pandémie, le Conseil a pris la décision, une fois de plus, de reporter la tenue de l’examen qui devait se dérouler cette fin de semaine.

L’entreprise chargée de superviser la tenue des examens de certification du CMFC a égaré les réponses fournies par 18 résidents, mais a aussi éprouvé d'autres problèmes majeurs en lien avec l'examen.

Ian Culbert, directeur général de l’Association canadienne de santé publique, le Dr Julian Nguyen et le Dr Saleem Razack partagent leurs conseils avec les professionnels de la santé pour les aider à éliminer le racisme dans leur pratique.

Avant de commencer son doctorat en médecine à l’Université de Montréal, l’étudiant d’origine haïtienne Wolf Thyma n’avait jamais vu un médecin noir. «La première fois que j’en ai vu un, j’avais 22 ans, et j’ai présumé que cette femme était réceptionniste», raconte le Montréalais de 25 ans qui en est à sa troisième année de médecine.

Deux professionnels de la santé proposent des conseils en vue d'éliminer les biais inconscients dans leur pratique.

Dénonciation, divulgation, signalement, alerte. Les déclinaisons de l’alerte éthique sont nombreuses et le phénomène des «lanceurs d’alerte» attire l’attention dans le domaine de la santé depuis quelques années. Certains auteurs estiment que cette pratique est une fonction importante, voire essentielle, du travail des professionnels de la santé pour protéger les patients. Elle se confronte toutefois à une culture du silence importante au sein des institutions de santé.