L’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux du Québec a élaboré une ordonnance collective nationale qui autorise les pharmaciens à suspendre les traitements de ces deux médicaments chez certains patients atteints d’une maladie chronique.
Quelque 400 ex-infirmières qui avaient quitté récemment la profession sont en train de prêter main-forte à leurs collègues sur la ligne de front de la pandémie de COVID-19 ou s'apprêtent à le faire.
Des syndicats de préposés aux bénéficiaires ont reçu des appels de leurs membres qui ont calculé... qu'ils seraient mieux rémunérés s'ils restaient à la maison et cessaient de s'occuper des personnes âgées dans les résidences privées pour aînés.
«Attendons-nous qu’il y ait une mort dans le réseau pour assurer la sécurité du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux?» Le personnel professionnel et technique du réseau accuse les gestionnaires de mettre leur santé en péril, malgré les directives de la ministre de la Santé et des Services sociaux.
L'exemption temporaire permettra notamment aux pharmaciens de prolonger une ordonnance de stupéfiants, de drogues contrôlées et d’autres substances ciblées.
Les patients se tournent de plus en plus vers les pharmaciens communautaires, mais ces derniers s’inquiètent du manque de soutien gouvernemental pour leur permettre de faire face à la crise à venir et réclament des mesures du gouvernement.