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VINCENT DORVAL

Author Profile

Vincent Dorval est infirmier en santé communautaire en banlieue de Québec. Il a fait sa formation au Collège François-Xavier-Garneau et par la suite à l’UQAR. Il possède également une formation en développement de produits pharmaceutique. Depuis 2002, il a œuvré dans le réseau public et dans le secteur privé en assurance de personnes, réclamation d’invalidité, sélection médicale, recherche pharmaceutique et hébergement privé. Aujourd’hui, il travaille dans les programmes de soins à domicile, famille enfance jeunesse et santé mentale au CSSS de Portneuf.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 25/04/2017

    Coupable d'être infirmière

  • 31/01/2017

    L’heure du choix

    «Comme tous les employés du réseau de la santé, je suis bombardé de publicités quant au vote d’allégeance syndicale. Cette élection est un exercice démocratique important [...] Cependant, je me rends compte que derrière les publicités visant à obtenir notre vote se cache un objectif un peu moins louable, et il commence à transparaître dans les propos tenus par les centrales syndicales…»
  • 16/01/2017

    Notre «infirmière»…

    «À force de voir des énoncés du type «notre infirmière peut vous vacciner» ou bien «une infirmière est sur place tous les jours» dans différentes publicités, que ce soit pour une clinique, une pharmacie ou une résidence pour aînés, j’ai décidé de vous faire part de mon observation à ce sujet. Malheureusement, trop souvent, infirmière et infirmière auxiliaire semblent être, aux yeux du public non averti, des termes interchangeables.»
  • 12/12/2016

    Y a-t-il de quoi être outré par la pub de l'OIIQ?

    «Je déplorais le manque de réactions quant à la dernière campagne publicitaire de l’OIIQ. Finalement, la FMOQ a réagi par le biais d'une lettre signée de son président, le Dr Louis Godin. Le titre, Publicité outrancière, trahit malheureusement la territorialité d’une profession qui exige la collaboration des autres.»
  • 29/11/2016

    Le silence des autres

    «Il y a quelques semaines, l'OIIQ a lancé une campagne publicitaire prônant davantage d'autonomie pour les infirmières. […] J’ai eu beau tendre l’oreille, je n’ai pu entendre aucune réaction. Pourquoi les groupes d’influence ne sont-ils pas montés aux barricades? Sont-ils à court d'arguments?»
  • 20/09/2016

    À toi qui chiales...

    «Depuis quelques années, j’ai la chance d’être délégué de mon Ordre régional à l’assemblée générale annuelle de l’OIIQ. Je voudrais m’adresser à toi, qui "chuchotes" avec tes collègues sur ce qui se dit en avant. À chaque argument, tu lèves les yeux au ciel et pousses un grand soupir avant de te remettre à "échanger" avec ton entourage immédiat et dire à quel point tout le monde est en train de se faire embarquer dans une idée qui ne fait pas de sens, alors que toi, tu vois clair et tu as raison…»
  • 06/09/2016

    Le client qui nous quitte

    «Habituellement, les clients nous quittent pas mal de la même manière. Certains consolident les acquis qu’ils jugent nécessaires afin de mener une vie ordinaire, et nous convenons, un jour, qu’il s’agit de notre dernière rencontre. [...] Très rarement, et heureusement qu’il en est ainsi, certains clients en proie avec une détresse insurmontable décident de mettre fin à leurs jours. ...»
  • 19/08/2016

    Clinique infirmière: oui, mais pas pour tout le monde

    «Devant la bonne nouvelle du financement de SABSA, l’OIIQ a proposé au ministre de poursuivre cette initiative dans tous les coins du Québec où de telles installations seraient pertinentes. Faciliter l’accès de la population aux soins qui leurs sont pertinents ne serait-il pas en effet une bonne partie de la solution? Au contraire, selon le ministre. SABSA ne doit pas devenir un précédent.»
  • 12/07/2016

    L’étudiant lent

    «Il y a déjà quelques semaines de cela, j’ai reçu un étudiant en sciences infirmières en stage. Je ne peux parler pour lui, mais je le ferai pour moi: cette expérience m’a fait considérablement ralentir mon rythme de travail… Et ce fût très apprécié!»
  • 14/06/2016

    Une «chasse aux sorcières»… vraiment?

    «Il ne passe pas une semaine sans que les médecins ne reçoivent une nouvelle tuile sur la tête: augmentations de salaire, offre de services stagnante, soupçon de conflit d'intérêt, etc. Mais plutôt que de dresser la liste exhaustive des torts supposés des médecins envers notre société, il serait plus important d'aborder leurs réactions face à de telles informations qui, accumulées, peuvent s'apparenter à une chasse aux sorcières…»