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- 17/06/2015
Il y a de quoi se réjouir malgré tout!
La Loi 41 me semble satisfaire tous les critères de reconnaissance de la formation et des compétences des pharmaciens. Elle découle d’une collaboration entres les ordres professionnels qui doit faire école et nous inspirer. Elle permet aux pharmaciens de contribuer significativement à l’accessibilité aux soins sans sombrer dans une bureaucratie aussi lourde qu’inutile. - 21/05/2015
Échec du référendum et Loi 41
Le pire des échecs de la Loi 41 serait que nous mêmes, les pharmaciens, refusions d'utiliser les bénéfices et les privilèges de la Loi et ainsi priver les Québécois de nos services. Ce serait donner raison à des politiques qui n'ont pas de sens, et ce serait donner des munitions à ceux qui prennent un malin plaisir à casser du sucre sur notre dos. - 16/05/2015
Miser sur ce qui nous unit
- 05/04/2015
Autopsie «pré-mortem»
«Je n’ai rencontré aucun médecin, aucun pharmacien qui se soit dit favorable aux réformes mises de l’avant par le gouvernement. Évidemment, tous se sentent attaqués et il pourrait être difficile d’y voir des bénéfices, à supposer qu’il y en ait. Ce concert d’objections est une mise en garde à l’endroit du gouvernement et de son ministre de la Santé.» - 31/03/2015
Une finale digne d'Hollywood
«Conclure une entente avant l’échéance et avant les grandes centrales syndicales relève d’un film d’Hollywood. Les pharmaciens d'établissements ont-ils gagné? Non, ils n’ont juste rien perdu. Surtout, ils n’ont pas perdu espoir d’avoir de la relève.» - 11/03/2015
La pharmacie et ses claques sur la gueule
«Alors que le message que le gouvernement tente de passer aux médecins est d’augmenter leur prestation de soins, c'est le discours inverse qu'il tient maintenant aux pharmaciens. Si quelqu'un comprend cela, expliquez-moi, ça presse!» - 18/12/2014
Le buffet du temps des fêtes
«Si nous voulons justifier nos salaires et nos revenus, nous avons le défi de justifier la pertinence et la valeur ajoutée de nos services. De façon intéressante, nous devons faire le constat que la valeur des services des pharmaciens – et des médecins de famille – n'a convaincu ni le ministère ni le ministre. Un message que nous devons entendre, qu’il fasse notre affaire ou non.» - 27/11/2014
On coupe dans le gras ou on ampute?
«Depuis 2009, le financement de la RAMQ a augmenté de 6% par année. Pour la même période, la rémunération des médecins s’est accrue de 8% et la part octroyée aux médicaments et services pharmaceutiques, de 1%... Pas mal, quand on considère le coût d’introduction des nouvelles molécules!»