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Jana Bryan Havrankova

Author Profile

Diplômée de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal en 1972, Jana Havrankova a suivi une formation en médecine interne et en endocrinologie à Montréal et à Sherbrooke, puis en diabétologie aux National Institutes of Health aux États-Unis. Endocrinologue à l’hôpital Saint-Luc du CHUM de 1979 à 2005, elle exerce actuellement en cabinet à Saint-Lambert et étudie en journalisme à l’Université de Montréal. Depuis 2001, elle a publié plus de 100 textes dans La Presse et Le Devoir.

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  • 10/02/2014

    Bannir les médicaments «dangereux»?

    «La nouvelle législation exigera que les effets secondaires soient obligatoirement rapportés. En fait, qu’est-ce qu’un effet secondaire? Comment l’associer à un médicament en particulier, alors que le patient prend de multiples produits prescrits et non prescrits?»
  • 10/01/2014

    2013, une année riche en niaiseries

    «À la fin de chaque année, nous dressons des bilans pour toutes sortes d’événements et de personnalités. Pourquoi m’en priverais-je? Lecteurs allergiques à l’ironie et au sarcasme, cessez de lire tout de suite!»
  • 04/12/2013

    Tests inutiles

    «[J'aborde ici la question de] l’échographie de la thyroïde, cette plaie de l’endocrinologie contemporaine, mais vous connaissez sans doute de nombreux exemples de tests et d’investigations dont on pourrait se passer sans mettre en danger la santé des gens.»
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    L’omniprésence de la malbouffe

    Le marché est parfaitement équilibré: la demande existe, les commerçants y répondent. Et la santé publique s’en va au diable.
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    Où se cachent les nouveaux médecins?

    «Malgré l’augmentation des effectifs, le nombre de personnes sans omnipraticien stagne. Il y a 10 ans, on rapportait qu’un Québécois sur cinq n’avait pas d‘omnipraticien. Aujourd’hui, c’est 20 % de la population. Il me semble que c’est pas mal pareil… Comment expliquer cette pénurie? Est-elle réelle ou apparente?»
  • 21/08/2013

    Les us et les coutumes

    «Par un beau matin de septembre commence le cours d’initiation à la démarche clinique, dont je suis monitrice. Je reçois quatre étudiants: deux filles, deux garçons. Une des filles porte un t-shirt laissant son nombril à l’air, l’autre est revêtue d’une longue tunique et d'un hidjab.»
  • 30/07/2013

    Une montée de lait estivale

    «Cela vous arrive sans doute à vous aussi. Un patient que vous suivez régulièrement est hospitalisé. L’équipe traitante modifie sa médication. "Pourquoi?" vous demandez-vous.»
  • 20/06/2013

    Le fouillis des génériques

    Au Québec, nous éprouvons un problème de surabondance de génériques. Avons-nous besoin de 17 versions génériques de la metformine, toutes vendues à 0,13 $? Ainsi, le pharmacien peut servir la metformine générique de Sandoz, d’Apotex, de Mylan, de Ranbaxy, de Riva, de Pro Doc… Ni le médecin ni le patient n’influencent ce choix...
  • 03/06/2013

    La mission inachevée du Dr Morgentaler

    Même si je me réjouis que l’avortement ne constitue plus un crime, j’éprouve toutefois un malaise: il me semble qu’il a été banalisé. Comment se fait-il qu’avec tous les moyens contraceptifs disponibles, on pratique environ 26 000 IVG au Québec par année, 30 avortements par 100 naissances vivantes?
  • 03/06/2013

    La mission inachevée du Dr Morgentaler

    Même si je me réjouis que l’avortement ne constitue plus un crime, j’éprouve toutefois un malaise: il me semble qu’il a été banalisé. Comment se fait-il qu’avec tous les moyens contraceptifs disponibles, on pratique environ 26 000 IVG au Québec par année, 30 avortements par 100 naissances vivantes?