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Geneviève McCready

Author Profile

Geneviève McCready est diplômée en soins infirmiers du cégep Bois-de-Boulogne (2002). Elle a complété un baccalauréat en sciences infirmières à l’Université d’Ottawa (2004) et une maîtrise en santé publique à l’Université de Montréal (2015). Elle a travaillé à l’hôpital, à l’équipe volante et à l’urgence, en santé communautaire en Haïti, au programme d’échange de seringues pour les UDI, puis comme infirmière de proximité en prévention VIH-ITSS. Elle a été infirmière clinicienne au service de santé pour les étudiants du Collège Dawson de 2007 à 2013. Elle étudie présentement au doctorat en sciences infirmières à l’Université d’Ottawa. Elle s’intéresse aux inégalités sociales de santé, à la promotion de la santé, à la recherche participative ainsi qu’au rôle politique des infirmières en santé communautaire/santé publique.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 14/02/2017

    Cinq ans de partage avec vous

    «L’exercice d’écriture de mon blogue a été porteur d’une prise de conscience sur les dimensions politiques et sociales de mon travail. Lorsque je relis mes billets, je constate les valeurs qui sont importantes à mes yeux, mais aussi à quel point certaines de mes opinions ont changé, évolué…»
  • 23/01/2017

    Être doublement handicapé 

  • 03/01/2017

    Testée pour vous: une nouvelle « super-clinique »

    Au mois de décembre, la blogueuse Geneviève McCready a passé une journée dans l'une des nouvelles « super-cliniques ». Elle y a constaté une mauvaise utilisation de l'expertise de l'infirmière qui était affectée au triage.
  • 12/12/2016

    Faut-il éduquer «les pauvres» à la santé?

    «Nous savons que la presque totalité des maladies sont associées à la pauvreté. Par là, j’entends que si une personne vit sous le seuil de la pauvreté, elle aura plus de chance de souffrir de ces maladies. En tenons-nous compte dans notre évaluation de l’état de santé mentale et physique et dans nos interventions infirmières?»
  • 22/11/2016

    Agir en prévention: le dilemme des infirmières

    «Une grande part du travail des infirmières est fondée sur des savoirs tacites ou intuitifs, acquis avec l’expérience et la création et recréation constante de la relation que nous avons avec nos patients. Ces connaissances sont parfois difficiles à expliciter avec des mots, mais même si nous ne savons pas les verbaliser, nous savons au fond de nous-mêmes ce qui est mieux.»
  • 01/11/2016

    Mourir de ses croyances ou respecter le droit à l’auto-détermination?

    «Le décès d’Éloise Dupuis des suites d'un accouchement difficile a suscité la colère de plusieurs, récemment. Cette mère témoin de Jéhovah aurait refusé une transfusion sanguine en raison de ses convictions religieuses, transfusion qui aurait pu lui sauver la vie. La Dre Jana Havrankova a écrit un billet sur le sujet, et j’aimerais réagir à certains de ses propos en faisant le lien avec ce qui caractérise la profession infirmière.»
  • 03/10/2016

    Abolition des frais accessoires: de la poudre aux yeux

    «Le ministre de la Santé a annoncé récemment qu’il abolissait les frais accessoires et encadrait les frais non assurés facturés aux patients. Cependant, il faut prendre garde à se réjouir trop tôt. L’adoption de ce règlement, bien qu’elle puisse sembler une bonne nouvelle, n’est pas suffisante pour faire la différence dans l’équité d’accès aux soins.»
  • 29/08/2016

    Écouter les absents

    «Lorsqu’une voix supposément consensuelle ressort à travers les 73 000 infirmières québécoises que nous sommes, lesquelles d’entre nous se retrouvent réduites au silence? Pourquoi est-ce si important que nous soyons unanimes, unies, que nous nous élevions «d’une seule voix»? Quel est le prix à payer lorsque l’on tait le débat pour faire émerger et favoriser un seul discours?»
  • 01/08/2016

    Ne pas travailler n’est pas une tare

    «On travaille parce que l’on croit que c’est le moyen pour s’épanouir, mais qu’arrive-t-il lorsque ce n’est plus le cas? Être aux études, vivre du bien-être social, prendre une pause du travail, être en arrêt de maladie, tout cela ne signifie pas que nous ne faisons rien d’utile pour la société.»
  • 12/07/2016

    Liste d’attente et privatisation

    «En mai dernier, ma fille de 5 ans s’est fait opérer pour le retrait d’un kyste dans le cou, près des voies respiratoires, à l’Hôpital de Montréal pour enfants (qui fait partie du CUSM). Nous avons patienté 28 mois avant qu’elle n'obtienne sa chirurgie. J’ai trouvé cette attente interminable, d’autant plus que cela allait à l'encontre des recommandations du chirurgien.»